C’est le quartier gastronomique de la ville, situé à l’est de la piazza Maggiore. On adore ses vitrines qui regorgent de charcuteries, de pâtes, de fromages. Ses épiceries aux fruits mûrs et aux ingrédients infinis. On ne rate pas l’épicerie Tamburini, une institution dont on ressort forcément avec une mortadelle ou des tortellinis.
S’offrir une glace !
On ne quitte pas Bologne – ni aucune ville d’Italie d’ailleurs – sans goûter une gelato, faite artisanalement, avec des produits naturels. On s’est régalée à celle du Gelatauro (via San Vitale 98), ainsi qu’à la Sorbetteria Castiglione (via Castiglione 44).
Du lèche-vitrines dans la Galleria Cavour
Toutes les boutiques (très) chics d’Italie et d’ailleurs sont regroupées ici: Prada, Gucci, Armani… Même si on n’a pas le budget pour faire une folie, on prend le temps de rêver.
Une balade sous les portiques
Bologne est la ville qui compte le plus de trottoirs couverts par des galeries, que l’on nomme ici portiques. Construites à l’origine pour supporter l’agrandissement des maisons, pensé par la ville pour héberger l’afflux des étudiants, elles s’allongent sur 40 km. Elles protègent des intempéries à la mauvaise saison et du soleil en été. On ne les quitte en général que pour marcher au milieu des artères commerciales rendues piétonnes le week-end.
Un coup d’oeil sur l’ancienne université
Bologne n’est pas que gourmande, elle est aussi savante. Elle abrite ainsi la plus ancienne université du monde occidental, fondée en 1088. On flâne dans son quartier et, un peu plus loin, on ne rate pas le Palazzo dell’Archiginnasio, ancien siège de l’alma mater, et son théâtre anatomique.
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